Cycle de conférences sur les Ordres de chevaleries

Ouverture des portes dès 13h00

Bonne nouvelle !

Le Cercle des Cent-suisses dans le cadre du salon du MysterOm est heureux d’annoncer une série de 3 conférences sur les ordres de chevalerie leurs histoire, leurs mythes et leurs légendes.

Nos conférences seront en presentiel ou en live. Le lien sera disponible une heure avant la première conférence sur notre site internet totalement gratuitement.

C’est une occasion en or de plonger dans le monde captivant des chevaliers fait de quêtes, de mystères et d’énigmes.

Les conférenciers

Jean-Charles Martin
Président de l’institution d’utilité publique cantonale et fédérale du Cercle des Cent-suisses. Chercheur indépendant et concepteur de la cyber chevalerie. Il est aussi le président du Cercle d’Enquête et de Recherche Templière et fut le Sénéchal de l’Ordre des Templiers en Suisse (O.S.M.T.H international) ainsi que conseiller associé à la fondation des suisses dans le monde.

Thierry Bourdon
Héritier des connaissances ésotériques des Chevaliers Teutoniques porte glaive, et de la Rose Croix Germanique, il a fait partie de plusieurs obédiences maçonniques opératives.
Il a étudié depuis de nombreuses années la runologie, et l’application des Sigils (sceaux) Scandinaves dans la pratique de la magie Runique.

Ouverture des portes 13h00

13h30-14h30
Les Chevaliers suisses aux croisades
(Conférencier Jean-Charles Martin)

14h45-15h45
L’Ordre des Chevalier Teutoniques et leur Grand Maître Bernois
(Conférencier Thierry Bourdon)

16h00-17h00
L’héritage des Templiers à Genève
(Conférencier Jean-Charles Martin)

Entrée gratuite

Conférence exceptionnelle de M.Emanuele Arioli le samedi 15 juin à 14h30 au Salon MysterOm

Ségurant le Chevalier du Dragon et le Graal

Emanuele Arioli effectue ses études supérieures à l’École normale supérieure de Paris, à l’École nationale des chartes, à la Sorbonne et à l’École normale supérieure de Pise. Il est archiviste paléographe (promotion 2013) et docteur en Études médiévales (2017, Collège de France-Sorbonne). En 2018, il est nommé maître de conférences en langues et littératures médiévales à l’université polytechnique Hauts-de-France.

Monsieur Arioli à l’occasion et de sa conférence au salon du MysterOm se fera un plaisir de vous dédicacer ces différents ouvrages qui seront en ventes sur place.

A t’il vraiment retrouver le Roi Arthur ?

Salon du MysterOm du 14 au 16 juin 2024 à Genève

Conférence le dimanche 16 juin à 14h30

Martin Jean-Charles, le président du Cercle des Cent-suisses et du Cercle de Recherche et d’Enquête Templière, dévoilera les résultats de son enquête et présentera sa théorie sur l’identité possible du Roi Arthur. Avec sa carrière de détective privé et de détective historique , il a consacré une portion significative de sa vie à tenter de résoudre les mystères de certaines mythes et de légendes.

Il sera intéressant de voir lors de cette conférence comment il dénoue la vérité du mythe et des faits historiques, apportant une perspective nouvelle sur les légendes du Roi Arthur.

Cependant, soyez prêts car le parcours sera rempli de surprises inattendues !

LA MISSION DU CERT

De nos jours, une grande partie de la connaissance originelle semble avoir été perdue dans les méandres de nos écrits, de nos préjugés et de nos croyances. Voilà pourquoi, ils nous paraissaient important d’effectuer des recherches et des enquêtes pour dissocier le vrai du faux.

Non par le, on m’a dit, mais par le, j’ai recherché !

Notre devise

Parabit Colligiret Factarum Sator

(Il se prépare à recueillir les faits du Stator).

Cette devise est en lien avec le logion 2 de l’Évangile apocryphe Thomas qui nous dit 《Logion 2: que celui qui cherche, qu’il ne cesse de chercher jusqu’à ce qu’il trouve ; quand il aura trouvé, il sera troublé ; troublé, il s’étonnera et il régnera sur le tout.

L’apôtre Thomas, qui était le plus sceptique au regard des pouvoirs de Jésus et qui ne croyait que ce qu’il voyait.

Quant au nom Sator, c’est une grille de codage appelée aussi carré magique, l’un des premiers cryptages relié aux chrétiens gnostiques. Ce carré servait aussi de talisman pour une multitude de choses.

Cette grille de cryptages mettrait à jour les plus grands secrets du christianisme qui aurait été caché par Jésus lui-même. L’Empereur Constantin 1ᵉʳ, puis l’Empereur Charlemagne et enfin les Chevaliers Templiers auraient réussi à décrypter une partie de son message, mais rien ne devait nous être parvenu à ce jour.

A l’heure actuelle, nous vivons dans des temps quelque peu perturber, qui nous oblige, pour les plus réveillés d’entre nous, à parfaire notre connaissance. Afin de mieux appréhender notre environnement qui devient de plus en plus hostile. Cependant, nous ne pouvons pas toujours trouver les réponses à nos questions dans le présent, car celle-ci réside aussi dans l’histoire de notre passé.

Comme nous l’enseigne si justement, l’étymologie des mots grecs et latins historia, qui dénomment l’enquête comme une connaissance acquise par la recherche et transmise par le récit de ce que l’on a appris. C’est uniquement par la véracité de ce que nous avons trouvé et par sa transmission que nous pourrons apporter de nouveaux éléments à l’histoire de notre monde.

C’est par cette même histoire que les chevaliers templiers ont toujours été dépeints comme les gardiens d’une connaissance quasi mystique et secrète à travers les siècles.

Leur savoir et leur richesse devaient effrayer le Roi de France au point de les faire arrêter avant que l’Ordre ne soit dissous avec l’aval du Pape. Certains dignitaires furent même exécutés au bûcher dont le grand Maître Jacques de Molay sous de fausses accusations.

On sait maintenant que les Templiers avaient acquis des connaissances hors norme aussi bien dans les domaines de la spiritualité, de l’ésotérisme que dans l’art de la guerre.

Ce qui faisait d’eux une milice du Christ redoutable !

Le siège de notre Cercle se trouve sur le territoire de Genève, où se trouvait jadis une commanderie Templière.

Effectivement, l’ordre du Temple comptait sur l’actuel territoire suisse que deux commanderies : La Chaux à Cossonay attestée en 1223 et à Genève (quartier de Rive) citée en 1277. Celles-ci possédaient d’autres maisons dépendantes (les écarts), notamment à Cologny, Bénex (commune de Prangins) et Entremont (commune de Yvonand). Tous ces établissements relevaient de la baillie (ou préceptorie) de Bourgogne, subdivision de la province de France

Nous avons aussi décidé de promouvoir dans notre monde moderne l’ancienne chevalerie via ce que nous appelons la Cyber-chevalerie.

Celle-ci se veut remettre en avant les valeurs fondamentales de la chevalerie de jadis, dont le point de départ remonterait pour nous à la chevalerie celto-romaine.

La cyber chevalerie notre nouvelle vision de la chevalerie

Nous avons décidé avec la Cyber-Chevalerie de perpétuer l’héritage de l’ancienne chevalerie via le réseau internet pour nos nouvelles générations. Avec ce nouveau mode de penser qui va probablement être catalogué de superflu, voire de farfelu pour les puristes, nous pensons au contraire qu’il nous faut vivre avec notre temps et utiliser les méthodes de transmission modernes.
Afin qu’elle ne tombe jamais dans l’oubli !

Cette nouvelle façon d’apprendre la chevalerie online permettra sans nul doute de créer de nouvelles vocations et d’amener par cet élan informatique des hommes et des femmes à rejoindre par la suite des Ordres de Chevalerie ou encore des organisations œuvrant pour la chevalerie non sectaires et dogmatiques.

www.cyberchevalerie.com

La cryptodynamique méthode de décryptage pas comme les autres

Et si le mot RELIGION nous cachait l’origine de Dieu

Comme les anciens Templiers, nous travaillons sur différentes enquêtes, englobent les formes de décryptages liées aux codifications du carré du Sator, le décryptage secret du sceau de Charlemagne, et la compréhension de l’alphabet secret templier ou encore le décryptage de la croix des huit béatitudes.

Nous sommes aussi sûrs des enquêtes de terrain concernant l’île secrète des Templiers et les implications de l’Ordre du Temple à Genève et bien d’autres sujets qui nous passionnent.

Dont celui des liens qui auraient existé entre la franc-maçonnerie et l’Ordre du Temple, qui semble actuellement être fondé sur des récits et des documents quelque peu douteux.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus anciennes codifications chrétienne connue (Pompei en 79). Le mot Sator est un mot celte qui correspond au Dieu des semailles, appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes, le Dieu Sator est lié expressément à la planète Saturne qui se dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

LA SAINTE LIGNÉE DU CHRIST ET SON SYMBOLE.

L’Évangile de Luc présente Marie de Magdala comme la femme que Jésus a délivrée de sept démons ; elle devint une de ses disciples — peut-être la disciple femme la plus importante du Christ après sa propre mère —, et le suivit jusqu’à sa mort.

Un texte du codex de Berlin, écrit en copte à la fin du IIe s., porte son nom : l’Évangile de Marie. Il s’agit d’un texte gnostique comprenant un dialogue entre le Christ et Marie de Magdala, celle-ci le restituant aux apôtres, suivi de dialogues entre Marie et eux. Dans la Pistis Sophia, texte gnostique en copte datant de 350 environ, Jésus dialogue avec Marie Madeleine et les autres disciples.

L’Épître des apôtres 16,17, l’Évangile de Pierre, l’Évangile de Thomas et l’Évangile de Philippe évoquent également Marie Madeleine. Dans ce dernier, elle devient la disciple préférée de Jésus.

La tradition et l’iconographie chrétienne s’appuient sur ces textes canoniques et apocryphes pour donner plusieurs visages de Marie de Magdala, nommé « Sponsa Christi ») qui se traduit par Promise ou fiancée du christ.

De ses différents écrits de multiples hypothèses ont vu les jours sur la probabilité d’une sainte lignée engendrée par Jésus et Marie de Magdala. A ce jour, aucune preuve n’a pu être produite pour valider ses dires.
Henry Lincoln va d’ailleurs inspirer avec son livre l’énigme sacrée le romancier de renom Dan Brown pour son Da Vinci Code !

LES 1ER ORDRES DE CHEVALERIE CHRÉTIEN

On peut retrouver sur une pierre de Rome une gravure ou l’Empereur Constantin est gravé sur un trône ou il donne le collier avec la croix aux principaux de l’Empire avec l’inscription suivante « Constantinus Max: Imperator, postquam mundatus a lepra per medium Baptismatis, Milites sive Equites Deauratos creat in tutelam Cristiani nominis»

Milites sive Equites Deauratos Tutelam Cristiani nominis pourait ce traduire par Chevaliers d’orer née de la protection de la famille des chrétiens.

la Loi du Code Theodosien prœpofitis laborum, parle d’ailleurs de cinquante de ces chevaliers qui avaient pour mission de porter l’étendard du Laborum devant les Empereurs.

On peut aussi retrouver étrangement dans le mot DEAVRATOS (d’orer) l’anagramme du mot latin DAVE ablatif singulier de vas qui signifie garant et l’anagramme du mot sator.

LE CHEVALIER PERCEVAL OU L’ALLÉGORIE DE LA QUÊTE DU SAINT GRAAL

Le chevalier Perceval était l’un des célèbres chevaliers de la Table ronde qui participèrent activement à la quête du Saint Graal avec ses deux compagnons Bohort et Galaad.

Dans l’énigme sacrée des journalistes d’investigations britanniques Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh, il est même associé au territoire de Sion en Valais (Suisse) malgré sa particule nominative de Gallois.

Il est dit dans la légende du Graal que sa sœur Dandrane était porteuse du Saint Graal !

Perceval et Galaad devaient malheureusement perdre la vie dans cette quête du Graal et seul, Bohort réussi à mettre un terme à celle-ci et à en ressortir vivant. La légende nous conte aussi que Perceval serait issu de la lignée du Roi pêcheur et du Roi Arthur et que c’est lui qui aurait été pressenti pour leurs successions.

Le nom de ce chevalier se disait aussi Peredur, un nom qui était composé en premier lieu de Pere qui se trouve être une variante de Per (celte) qui peut signifier Pierre, milieu, pomme, fertile, Lance, pointe et du nom Dur (celte) qui peut dire chêne, acier ou eau.

Ce même nom de Perceval nous laisse aussi apparaître dans son orthographe initiale le mot breton Per qui signifiaient à nouveau Pierre et ceval qui ne semblait correspondre à aucun nom en Celte.

Mais, alors que pouvait bien vouloir dire cette deuxième particule !

LE SCEAU SECRET DE CHARLEMAGNE

Et, si en réalité Charlemagne avait inventé une codification secrète qui nous permettrait de nous conduire à retrouver son trésor de connaissance.

LE CARRÉ MYSTIQUE ET CODIFIÉ DES ANCIENS CHRÉTIENS.

Le carré du SATOR est un carré magique et l’une des plus ancienne codification chrétienne connue ( Pompei en 79 ). Le mot Sator est un mot celte qui correspondrait au Dieu des semailles appelé aussi le semeur. Il est identifié chez les Romains à Jupiter puisque celui-ci est aussi appelé Sator Hominum et deorum soit respectivement le père des dieux et des hommes. Chez les Celtes le Dieu Sator est lié expressement à la planète Saturne qui ce dit Satorn. Ce carré renferme en lui les noms de la doctrine des premiers gnostiques.

SCEAU DU 1ER ROI DU PORTUGAL ET PRÉCEPTEUR DU TEMPLE.

Le premier sceau royal d’Alphonse Iᵉʳ semble être porteur d’un message. En effet, on remarque aisément que la disposition des lettres du mot « Portugal » peuvent être décomposées en « Por Tu Gral » :on peut lire POR qui signifie POUR en portugais puis Tu qui signifie Ensuite, tu ou toi et enfin, dans la partie inférieure, on peut lire GRAL, incluant le R décalé probable variante du mot Graal.

LA CROIX ABRAXAS DE LAUSANNE

Argent niellé H. 8, 3 cm, L. 8, 2 cm Burgondie franque, fin du VIe-VIIe siècle,Lausanne, musée cantonal d’archéologie et d’histoire, Inv. 30 969

A une époque où le christianisme est largement diffusé et adopté, les traces du paganisme subsistent et se mêlent à l’iconographie et la symbolique chrétienne. Ainsi, sur une croix découverte sur le torse d’un défunt, on peut lire l’inscription Abrasax, plus connue aujourd’hui sous la forme « Abracadabra » (Que Dieu protège). Cette formule était couramment inscrite sur de petites intailles-talismans à partir du IIe siècle et se retrouve naturellement sur des croix personnelles, afin d’en augmenter l’efficacité. Cette dimension quasi superstitieuse se retrouve dans les bourses-reliquaires, de petite taille, qui pouvaient être cousues aux vêtements.

LE SCEAU SECRET DE L’ORDRE DES TEMPLIERS

LE SECRETUM TEMPLI PLUS CONNU SOUS LE NON D’ ABRASAX (grec : Αβραξας) ou encore Abracax, est un terme gnostique, utilisé notamment par Basilide, qui désigne les 365 émanations du dieu suprême. ABRAXAS serait dit-on un cryptogramme d’origine hébraïque, écrit initialement sur deux lignes ABRA / XAS, qui lues en boustrophédon hébraïque, font ARBA / XAS, c’est-à-dire : « Que Dieu (ARBA) protège (XAS) ». La formule magique abracadabra proviendrait donc du terme abraxas.

Lettre de Jacques de Molay 1296

Lettre de Jacques de Molay, Grand Maître de l’Ordre du Temple, à Ramon de Bell-lloc, Commandeur de Torres de Segre, l’informant de son intention de se rendre à Chypre le 24 juin, et lui demandant l’aide nécessaire pour sa charge, le tiers de leurs revenus pour les efforts militaires pour libérer la Terre Sainte.

REX BELATOR

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Burchard von Schwanden, 12eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Il quitte son poste juste avant la chute de Saint Jean d’Acre pour rejoindre les Hospitaliers puis essaie en vain de revenir chez les Teutons..

Le pape Nicolas IV qui demanda un concile pour la fusion des ordres.

Lettre de Nicolas IV à l’archevêque de Narbonne, la partie soulignée en rouge montre la demande de fusion des ordres de l’Hôpital et du Temple.

Raymond Lulle à gauche, lors du Concile de Vienne. Il fut le premier à proposer l’idée d’une fusion des Ordres Chevaleresques après la chute de Saint-Jean d’Acre

Nous nous intéressons aussi de près à Burchard von Schawnden, 12 eme grand maître de l’Ordre Teutonique. Ce personnage reste tres énigmatique: En 1290 il parti pour défendre Acre, mais arrivé sur place il ne resta que 3 jours avant de démissionner de son poste pour rejoindre l’Ordre des Hospitaliers. Il serait ensuite allé en Suisse où il décède en 1310. Certains historiens pensent qu’il serait lié au projet Rex Bellator, étant lui-même sous l’autorité du pape Nicolas IV.

Le pape Nicolas IV avait lui même déjà écrit une lettre à l’archevêque de Narbonne en 1291 imposant la nécessité de tout mettre en œuvre pour maintenir une présence chrétienne en terre sainte et amener les frères de l’Hôpital et du Temple à « ad unius ordinis unitatem » (l’unité d’un ordre unique)

Nicolas IV décède en 1292, ce qui coupe court au projet de fusion, son successeur Bonniface VIII ne cherchera pas à imposer cette fusion et ne fera que consulter les Maîtres des différents ordres.

La charte de Larmenius

La charte de Larmenius est un document que certains Maçons Néo-templiers revendiquent comme étant une preuve de filiation entre l’Ordre des Templiers et la Franc-maçonnerie

Pourtant, Gottfried Joseph Gabriel Findel écrivain et éditeur maçonnique nous dit ceci :

« Ce document est un faux, et ceci pour les raisons suivantes :

1 – le latin n’est pas celui du 14e siècle ;
2 – les anciens statuts templiers sont ignorés puisqu’aucun Grand-Maître n’a jamais eu le pouvoir de désigner seul son successeur ;
3 – cet acte est inutile pour la préservation de la grande maîtrise, car si une convention avait existé, son élection se faisait sans charte, et si aucune convention n’avait existé, alors la charte devenait inutile ;
4 – l’installation de quatre vicaires généraux était absolument inutile, car à la période où l’Ordre était à son sommet, il n’en avait pas besoin, le Grand-Maître n’ayant jamais demandé qu’à avoir deux assistants ;
5 – si les templiers écossais dont parle la Charte signifient les francs-maçons… et suite au Convent de Wilhelmsbad de 1782 ayant exclu les templiers des loges maçonniques, alors l’anathème de la Charte ne peut avoir été édicté qu’après cette date ; 6 – la signature de Chevillon amène à la même conclusion, car si ce document a été préparé sous la direction de son prédécesseur, Cossé de Brissac, il n’a pu l’être que dans la période trouble et agitée de la Révolution, une époque où tout ce qui relevait de l’aristocratie et du templarisme ne pouvait que subit la persécution la plus violente. »

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